(∞) qui aime bien, châtie bien.

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« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder »
maël, savanah.

Aujourd'hui je ne travaillais qu'en fin d'après-midi. J'avais donc profité du début de ma journée pour me reposer et faire un peu de rangement chez moi. J'avais pris des gardes supplémentaires afin de gagner un peu plus d'argent. Je risquais d'avoir des dépenses si je voulais retourner au Brésil alors il était grand temps d'économiser. Et puis peut être que le directeur de l'hôpital verrait cela comme une profonde envie chez moi de m'intégrer et de travailler le mieux et le plus possible. Aux alentours de 18h, j'arrivais enfin à l'hôpital et je me rendis dans les vestiaires pour enfiler la tenue règlementaire. Je saluais quelques collègues avant de me rendre aux urgences où l'on m'indiqua une chambre où un patient m'attendait pour des examens basiques. Pas besoin d'un médecin, nous étions largement qualifiés pour faire cela. En entrant dans la salle, je fus un peu surprise de trouver Maël, avec des égratignures sur le visage et quelques brûlures superficielles. C'est sûr qu'en étant pompier, il y a des risques qu'il soit légèrement blessé ou bien gravement touché lors d'une intervention. Mais voyant qu'il n'avait rien de grave, j'en profitais pour le taquiner. « Tu t'es fait ça en attrapant un chat en haut d'un arbre ? » demandai-je alors sur le ton de la plaisanterie, attrapant le produit désinfectant et du coton pour soigner sa plaie. En tous cas j'étais contente d'être tombé sur lui comme patient. Après tout la plupart d'entre eux râlent parce qu'ils ne nous trouvent pas assez compétentes ou alors ils sont irrespectueux envers nous.

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that's my prerogative. they say i'm nasty.
but i don't give a damn. gettin girls is how i live.
crédits@fuckyeahselenita ~ my prerogative, glee.
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Autant dire que la journée avait été plutôt calme, bon dans un sens c'était une bonne chose puisque personne ne s'était retrouvé blessé, mais ce qui forcément de l'autre fait que l'on s'était quand même pas mal ennuyé. Nous n'avions eu que peu d'interventions, et parmi elles, seulement des interventions de routines. Et alors que nous étions retourné à la caserne en fin d'après-midi histoire de finir notre journée tout aussi tranquillement, nos bips respectifs s'étaient une nouvelle fois mis à sonner. Cette fois-ci cela semblait bien plus important, un incendie venait à peine de se déclarer dans un immeuble voisin. Nous étions donc très rapidement sur place, et alors que avec un de mes collègues nous étions entré dans l'immeuble pour être sûr que tout le monde était sorti, pendant que deux autres étaient entrain d'être feu depuis l'extérieur. J'avais forcément eu quelques brûlures assez superficielles, j'en avais l'habitude maintenant alors ça ne me dérangeait pas tant que ça. Le principal étant, il n'y avait plus personne. Ma journée terminée j'avais décidé de me rendre à l'hôpital histoire de sonner les égratignures que j'avais eu. Et pendant que je patientais tranquillement dans la salle où une jeune femme m'avait conduit, j'eus la bonne surprise de voir Savanah me rejoindre. D'ailleurs elle ne tarda pas à me taquiner, comme bien souvent entre nous. « Une ex en colère ça marche aussi? » plaisantais-je à mon tour, puisque finalement on ne sait à quoi s'attendre avec une femme en colère. « Comment tu vas? » la questionnais-je alors ensuite pendant qu'elle était entrain de préparer le matériel nécessaire pour me désinfecter.

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« Le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder »
maël, savanah.

En me rendant à l'hôpital pour ma garde aujourd'hui, je ne m'attendais pas à tomber sur Maël, le visage plein d’égratignures. Au moins ma journée de travail commençait bien, j'étais certaine de bien rire en sa compagnie pendant quelques temps. Et je préférais largement cela à des petits vieux qui passent leur temps à râler et à dire que je suis incompétente. Tout en préparant le matériel pour soigner Maël, je le taquinais sur la raison de sa venue ici, et sa rétorque me fit légèrement rire. « Laquelle ? » répliquai-je sur le même ton. « Et sinon, c'est quoi la vraie raison? Parce qu'on sait très bien tous les deux que si c'était une ex, tu ne seras pas capable de parler » lançais-je par la suite, un petit sourire sur les lèvres. Je pris un coton avec le désinfectant pour le poser sur les quelques plaies qu'il avait sur le visage, mais certaines semblaient un peu plus profondes. « Ca va et toi ? » demandai-je à mon tour. En tous cas si ça allait, il risquait de changer d'avis parce que les produits que l'on utilise ici pique énormément, pas comme ceux qu'on trouve en magasin.

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À la suite d'une intervention je m'étais retrouvé avec plusieurs égratignures sur le visage, bon bien sûr ça me semblait bien loin d'être grave, mais malgré tout à la fin de mon service je m'étais décidé a aller faire un petit tour à l'hôpital. Et autant dire que voir Savanah débarquer dans la salle d'examen dans laquelle je me trouvais m'avais beaucoup amusé, mais au moins le temps passerait plus vite. Comme ça je ne regrettais plus d'avoir fais un détour par l'hôpital avant de rentrer. D'ailleurs elle m'avait a peine rejoint depuis quelques minutes que Savanah commençait déjà à me taquiner. Je n'avais pas mis très longtemps avant de rentrer dans son jeu. « Je me souvenais plus d'elle, c'est ce qui la mis en colère. » dis-je alors avant de rire légèrement. Finalement elle avait avant reprit la parole, me demandant la vraie raison puisque dans le cas d'une ex en colère je n'aurais pas été capable de parler. « N'exagère pas non plus quand même, non sinon je dois ça à un petit incendie. » repris-je a mon tour plus sérieusement. J'avais toujours plus ou moins tendance a prendre des risques, et ça que ce soit dans mon boulot, mais aussi dans la vie de tous les jours. C'est d'ailleurs ce qui dans un sens ce qui m'avais été pratiquement fatal lors d'une intervention, les deux mois de coma qui aurait du me servir d'électrochoc pour agir plus sainement rien n'était tel. Et je ne prêtais même pas attention aux quelques effets secondaires que j'avais récolté. Alors qu'elle posait le coton sur mon visage elle me questionna de nouveau, « Pour l'instant ça va et toi? » dis-je alors qu'elle était entrain de désinfecter mes plaies avant de finalement grimacer légèrement, il fallait bien l'admettre le produit piqué légèrement. « N'en profite pas pour me torturer ! » m'exclamais-je alors assez sérieusement, avant de finalement rire légèrement.

» je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais ♥