Bonjour, je suis "Blake Netchaïev", et je suis née le "vingt-et-un mars, le jour du Printemps," à "Auckland, en Nouvelle-Zélande". Je suis donc âgée de "24 ans" et je vis actuellement à "Brisbane, en Australie". Je suis "en couple" et j'exerce le métier d'"hôtesse de l'air" en dehors de mon temps libre que je consacre à la "photographie". Mes revenus sont "très acceptable pour mon âge". A côté de cela, on dit souvent de moi que je suis "souriante, énergique, aventureuse, aimante, créative" mais également "joueuse, taquine, têtue, impulsive et inconsciente.". On peut souvent m'identifier grâce à "mon parfum à la rose ou mon appareil photo qui ne me quitte jamais ". Peu de gens savent que j'ai peur d' "être enfermée, des vastes étendues qui paraissent sans fin ou de la famine". Dans la rue, on me dit souvent que je suis le sosie de "Crystal Reed"
∞ IL ÉTAIT UNE FOIS ∞
(+) Vint-et-un Mars, ou le Jour du Printemps. Oui, un certain jour comme celui-là, je suis venue au monde. Moi, Blake Netchaïev, née d'une mère enseignante Française et d'un père photographe Russe - qui ont emménagés, à la suite de leur mariage, en Nouvelle-Zélande -, je débarquais dans ce qui serait désormais ma famille. Père et mère me faisant grandir dans un amour sacré, ainsi que mon frère aîné de cinq ans de plus, Ben, que j'ai plus qu'aimé dès notre premier regard. Grâce à l'éducation de mon père, j'ai tout de suite appris couramment le Russe, tandis que grâce à celle de ma mère, j’apprenais une autre langue qui était le Français, ce qui me faisait trilingue dès mes 3 ans ! Ah, comme la vie est belle au monde des bisounours ! Ouais, sauf que les bisounours, ça n'existe pas.
« Mais mange Lily, mange ! » Manger. Un mot qui me faisait trembler tant il m'épuisait. Chaque jour, je faisait tout mon possible pour avaler ne serait-ce qu'une seule cuillerée de riz, qui finissait généralement par ressortir de là où elle était entrée. Je ne comprenais moi-même pas pourquoi mon corps qui était bien trop frêle, maigre et fragile pour une enfant d'à peine 7 ans n'acceptait la moindre nourriture depuis désormais quelques mois. Mes parents commençaient sérieusement à s'inquiéter et je m'inquiétais avec eux, sans connaître la véritable raison de cette inquiétude. Chaque soir, dans mon lit, l'un de mes parents venait s'asseoir à côté de moi plein d'espoir, une triste miche de pain prenant place dans le creux de leurs mains, et ils me demandaient de l'avaler. Mon regard se portait vers ce morceau et je me mettais à pleurer, sans raison valable. Mon père ou ma mère finissait par sortir de ma chambre avec une moue sur le visage, regardant avec tristesse mes joues creuses qu'ils ne pouvaient remplir. Puis le lendemain, je me remettais à pleurer. Seulement, la raison était différente. Je ne voulais pas aller à l'école. J'étais pourtant une élève studieuse pour mon âge, particulièrement intelligente et appliquée. Mais quelque chose m'empêchait de savourer mes bonnes notes et la douce compagnie de mes amies. Une sorte de blocage dont personne ne connaissait les sources. Bien vite, mon institutrice de l'époque à recommandé à mes parents de m'emmener voir un psychologue : cet homme fera pour toujours partie des gens dont je n'oublierais jamais, ni la voix, ni le visage. Surtout ses yeux, je me souvient de ses deux globes verts qui passaient leur regard à travers de verres épais qui lui servaient de lunettes. Non, ce n'était pas un vieux pédophile fou et psychopathe comme on pourrait l'imaginer avec sa description, mais plutôt l'homme le plus bon qui puisse exister. Il s'appelait Mr Stanford et c'est lui qui a découvert que je souffrais d'une anorexie liée à un complexe concernant le milieu scolaire. La première fois, je n'ai pas compris le sens de ces mots, je saisissais une vague mélodie dont je devinais les funestes échos. Échos qui m'atteignirent bien trop vite à mon goût, car il ne fallut pas plus de 12h pour que mes parents m'emmènent à l'hôpital.
Pendant 2 ans, je n'ai plus remis un pied dans un établissement scolaire, tout en continuant des cours qui m'étaient donnés par ma mère-qui avait mis fin à son travail pour se consacrer pleinement à mon cas- afin que je puisse un jour poursuivre mes études. Si bien que j'ai finit par guérir de ma maladie. Tous, nous pensions que le cauchemar avait enfin cessé et - pour mon bien -, mes parents ont jugé bon de me remettre à l'école. J'avais alors un peu plus de 9 ans, lorsque mes parents m'ont remise dans un établissement, où il était prévu que je poursuive mon apprentissage avec des élèves de mon age, comme si rien ne s'était passé. Comme ça, on pourrait croire que tout s'est arrangé, sauf qu'il y a un mais. En effet, à peine une semaine m'a suffit pour me faire reperdre l'appétit, si bien que mes parents on renoncé définitivement à l'école. Mon père -qui rêvait depuis toujours d'expéditions- à alors proposé à ma mère de partir. De s'en aller. Il voulait que tous les quatre - moi, mon frère, ma mère et lui-même – partions vivre en nomade dans les paysages de la Nouvelle-Zélande, en faisant le tour complet de l'île. Il pensait que puisque ma mère était enseignante, elle était en mesure de nous faire – à moi ainsi que mon frère – l'enseignement. Il disait que cela serait bien meilleur pour moi et que c'était une occasion pour partir à l'aventure. Alors c'est arrivé, du jour au lendemain, mes parents ont fait la demande que mon frère quitte l'école afin qu'ils puissent mettre à bien leur projet « d'enrichissement ». Il n'eurent guère besoin de se battre beaucoup, car bien vite, leur demande pour Ben fut acceptée et mon père acheta une caravane, saisi son appareil photo, on boucla nos valises, et nous étions partis pour 7 années merveilleuses. En sept ans, nous avions fait le tour complet de la Nouvelle-Zélande, nous attardant parfois pour quelques mois sur une plaine au pied d'une montagne ou à la lisière d'une forêt au bord d'un lac. Jamais je ne remercierais assez mes parents pour tout ce qu'ils ont fait. Nous vivions des années de bonheur, alors que je mangeais à ma faim, que je me trouvais un goût prononcé pour la photographie -comme mon père-, que je prenais un plaisir fou à me baigner dans un lac, que je continuais mon éducation grâce à ma mère, que je hurlais du haut d'une montagne, que je faisais la course avec mon frère et mon chat - oui, nous l'avions emmené ! - et que je vivais peut-être les plus elles années de mon existence. J'étais devenue une sauvage qui grimpait aux arbres pieds nus et qui me faisait des caribous, des renards, des moutons ou même des ours pour amis. Mes parents m'appelaient Tippi, comme la petite fille de l'Afrique, sauf que moi, j'étais Lily la petite fille de New Zealand. À mes 17 ans, nous avons été contraint de revenir chez nous, à Auckland, tout simplement parce que mon frère - qui, lui, avait 22 ans – souhaitait commencer à vivre sa propre vie. C'était donc à contre cœur que nous rentrions tous chez nous, à Annan Street. Grâce aux efforts de ma mère, j'ai finit par obtenir mon diplôme sans une seule année scolaire, ce qui m'ouvrait désormais la voie pour toutes sortes d'études. J'ai finit par me diriger vers les compagnies aérienne. Devenir hôtesse de l'air me permettait de voyager comme je l'aimais et j'avais toutes les qualités requises. J'ai donc passé dès mes 18 ans les diplômes nécessaires, que l’obtint bien – à vingt ans - vite grâce au fait que je sois trilingue et que je nageais parfaitement bien. Quelques temps avant - 19 ans - j'ai fait la rencontre de Noah Broadway. Ah Noah... On peut dire qu'il m'a tapé à l’œil. Pourtant, c'était tout sauf une rencontre romantique. Chaque matin, je le voyais dans le bus. Quelques regards échangés et au bout d'un mois, on s'est mis à parler. Puis le lendemain également, puis le jour suivant... Est-il vraiment nécessaire que je vous raconte tout en détail ? Il avait 24 ans, j'en avais 19, il souhaitait devenir directeur artistique et moi hôtesse de l'air. On aurait put croire que rien n'aurait collé entre nous, pourtant, on s'aimait plus que tout. Tout ce qu'il voulait était emménager dans un appartement où il pourrait vivre seul. Seulement, les moyens lui manquaient et on a finit par se proposer d'emménager ensemble. Entre temps, j'ai appris que j'étais prise en tant qu'hôtesse chez la compagnie australienne Qantas. Si bien qu'à 21 ans, nous avons emménagés ensemble à Brisbane, à Seven Hill, et avons tout deux commencé une nouvelle vie.
(++) Hors forum on m'appelle kreattur - je suis agé de 17 ans. - ma fréquence de connexion sur le forum et de 5/7. Le code du règlement est : validé par charly. Je trouve le forum tout à fait attirant, bien que j'ai quelques conseils personnels à donner ! Je connais le forum grâce à : mon ami Google - Je m'engage donc à être active sinon les administratrices ont le droit de supprimer mon personnage.
Dernière édition par Blake Netchaïev le Ven 22 Nov - 16:20, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Jeu 21 Nov - 19:05
Bienvenue parmi nous et bon courage pour la fin de ta fiche :)
Allie Scott "i just wish you were a normal guy"
∞ messages : 850
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Jeu 21 Nov - 19:50
Bienvenue parmi nous :) Si tu as des questions n'hésites pas !
Seth Parker "i just wish you were a normal guy"
∞ messages : 368
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Jeu 21 Nov - 19:52
Bienvenue en Australie et bonne chance pour la fin de ta fiche.
Invité Invité
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Ven 22 Nov - 18:26
Merci beaucoup pour votre accueil ! J'en profite pour préciser que j'ai terminé ma fiche et que j’attends désormais ma validation :33
Jamie Collins "i just wish you were a normal guy"
∞ messages : 257
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Sam 23 Nov - 14:48
très bon choix de célébrité ! tu es donc validé et surtout n'hésite pas si tu as la moindre question. concernant les petites choses que tu auras à dire pour amélioré je suis à ton écoute c'est toujours très utile.
Invité Invité
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Sam 23 Nov - 15:44
Enfin validée, merci beaucoup Je me lance de suite dans la création du scénario de Noah et je cours explorer le forum d'un peu plus près
Allie Scott "i just wish you were a normal guy"
∞ messages : 850
Sujet: Re: BLAKE // into the wild. [Terminée] Sam 23 Nov - 17:48
Belle présentation Blake ! :) Comme l'a dit Charly, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas.